En librairie

Où subsiste encore ton écho

 Aline Angoustures (roman)

 

Qui y a-t-il de commun entre les rues de Téhéran et la côte bretonne ? Entre les premiers émois de l’adolescence et une dernière rencontre ? Le destin d’une femme de son siècle, ponctué, balisé, sanctionné par tous les accidents de la vie. Une mère mélancolique, un fils en crise, une amie malade… De quoi baisser les bras ? Pas forcément. Jeanne traverse l’existence en s’accommodant de ses doutes et en sublimant ses rêves. Avec elle, Aline Angoustures nous promène à travers la petite et la grande histoire avec l’humour désespéré propre aux vrais écrivains.

18€

Motherman, suivi de : Un peu de grâce dans la moëlle des mots

 Pierre Astan (poésies)

 

Dans Motherman, Pierre Astan explore la paternité, la souffrance et l’amour pour questionner le sens de la vie et de la mort. Chaque poème est une réflexion sur la complexité de l’être. Dans Un peu de grâce dans la moëlle des mots, l’auteur capte l’éphémère beauté du monde, où le silence et la lumière révèlent l'invisible. Sa poésie, contemplative, touche l’essence des choses à travers la fragilité et l’émerveillement de l’existence. Les deux recueils se rencontrent dans leur quête d’une vérité au-delà du quotidien, l’un explorant les profondeurs de la vie familiale, sa beauté et ses douleurs, l’autre célébrant l’intimité du monde et du silence.

13€

Les yeux ouverts

Didier Torossian (roman)

 

1915 : le jeune Hagop fuit son pays natal pour échapper aux massacres. Il finit par arriver à Marseille, où son petit-fils, un siècle plus tard, se souvient de son enfance et tente de décrypter la mémoire familiale. Deux histoires parallèles, qui font retour à des racines oubliées par certains, arrachées par d'autres. Deux histoires qui n'en font qu'une, celle de ces centaines de milliers d'Arméniens, survivants du premier génocide du XXe siècle, que l'on n'a pu rassembler et unir que sous un seul nom : la diaspora.

15€

A paraitre

Fragments de la lumière et du temps

Daniel Pasquereau (poésies)

 

Louise Glück a écrit dans le poème Nostos, « on observe le monde une fois, pendant l’enfance. Le reste est souvenir. » Pas de nostalgie pour autant, inutile de se laisser submerger par les regrets. La lueur des souvenirs vacille comme des lucioles sur le bord de la route. Bon ou mauvais, ils éclairent le parcours. C’est bien comme ça. Et on peut toujours les transformer en poèmes qui resteront comme des fragments de mémoire à emporter au paradis.

Retour vers le néant

Gilles Vidal (roman)

 

« Que dire ? Prier ? Nous ne croyions plus en rien. De mon côté, imité par ma compagne Maggy, j’absorbais un gros cachet de couleur orange qui allait m’endormir à tout jamais et qui m’éviterait toute souffrance (si jamais nous nous trompions, nous serions alors ramenés à la vie). Mais alors que je mettais la pilule dans ma bouche, je vis avec effroi que les étoiles s’éteignaient toutes à grande vitesse les unes après les autres, une sorte de Big-bang à l’envers, comme si un géant soufflait des milliers de bouts de chandelles. » La fin du monde vue par Gilles Vidal, frissons cosmico-poétiques garantis.

Pauvres Notions

Mimoza Ahmeti (poésies)

 

Les poésies de Pauvres Notions, de Mimoza Ahmeti, écrites pour la plupart en vers libres, font partie de la grande poésie de la pensée, un genre littéraire réconciliant la philosophie et la littérature. Il ne s'agit pas, dans ces textes puissants s’ouvrant sur d’autres mondes, de transformer en concepts philosophiques le contenu poétique mais de découvrir le lieu où la dimension d’une rencontre, de deux paroles, du penseur et du poète, pour que poésie et pensée puissent en venir à se rejoindre.

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